23 août 2008
6
23
/08
/août
/2008
15:51
Quatrième page :
Au XIVe siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d'une communauté paisible qui condamne la violence, mais elle est massacrée par les hommes d'Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au cœur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D'où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu'il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu'à la forteresse d'Inuyama, lorsqu'il marchera sur le " parquet du Rossignol ". Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il
Ce que j'en dis :
Dans ce premier tome, comme la plupart des premiers tomes, présentation des personnages, des lieux, etc. Là ce qui m'a immédiatement plus c'est ce "clan" les Invisibles : une comunauté vivant bien à part vivant en paix et loin de toute violence. Là-bas la violence est comme un péché.Pourtant un clan sanguinaire leur rendra une petite visite....Des le début du roman on suit Takeo. Là où j'ai vraient accroché c'est lorsque Takeo et sire Shigeru sont à Hagi. Là notre jeune héro apprendra un peu plus sur ses liens de sang paternel. Sire Shigeru veillera à son éducation et à ce qu'il devienne un guerrier lui aussi car il a projet pour son protégé. Une vengeance que sire Shigeru tout comme Takeo souhaite se voir réaliser. Mais ce n'est pas facile pour Takeo car la Tribu a tout ses droit de le demander alors que le jeune garçon homme, ne souhaite qu'exaucer sa promese : être et servir au Clan des Otori.
Vers la fin, je me demandais si Takeo et son maître allaient arriver à leur but. Sans parler des dames que chacun aime...
J'ai beaucoup aimé les descriptions des traditions japonaises.
Une note de l'auteur dès la première page concernant la saga qui : "est situés dans un pays imaginaire vivant à l'heure de la féodalité. Cette situation et cette période n'ont pas d'équivalents réels dans l'histoire, même si 'on peut découvrir dans ces pages maint écho des coutumes et des traditions japonaises [...]"
Pour en lire un extrait (premières pages) c'est ici
Au XIVe siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d'une communauté paisible qui condamne la violence, mais elle est massacrée par les hommes d'Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au cœur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D'où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu'il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu'à la forteresse d'Inuyama, lorsqu'il marchera sur le " parquet du Rossignol ". Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il
Ce que j'en dis :
Dans ce premier tome, comme la plupart des premiers tomes, présentation des personnages, des lieux, etc. Là ce qui m'a immédiatement plus c'est ce "clan" les Invisibles : une comunauté vivant bien à part vivant en paix et loin de toute violence. Là-bas la violence est comme un péché.Pourtant un clan sanguinaire leur rendra une petite visite....Des le début du roman on suit Takeo. Là où j'ai vraient accroché c'est lorsque Takeo et sire Shigeru sont à Hagi. Là notre jeune héro apprendra un peu plus sur ses liens de sang paternel. Sire Shigeru veillera à son éducation et à ce qu'il devienne un guerrier lui aussi car il a projet pour son protégé. Une vengeance que sire Shigeru tout comme Takeo souhaite se voir réaliser. Mais ce n'est pas facile pour Takeo car la Tribu a tout ses droit de le demander alors que le jeune garçon homme, ne souhaite qu'exaucer sa promese : être et servir au Clan des Otori.
Vers la fin, je me demandais si Takeo et son maître allaient arriver à leur but. Sans parler des dames que chacun aime...
J'ai beaucoup aimé les descriptions des traditions japonaises.
Une note de l'auteur dès la première page concernant la saga qui : "est situés dans un pays imaginaire vivant à l'heure de la féodalité. Cette situation et cette période n'ont pas d'équivalents réels dans l'histoire, même si 'on peut découvrir dans ces pages maint écho des coutumes et des traditions japonaises [...]"
Pour en lire un extrait (premières pages) c'est ici